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Ocre, chaleur, sueur et succès : La preview de l’édition 2024 de Madrid Le célèbre tournoi ATP de Madrid ouvre ses portes ce mercredi. Le Mutua Madrid Open, moment incontournable de la saison sur ocre, s’annonce une fois encore passionnant. En effet, presque tous les cadors du circuit seront présents (32 des 33 meilleurs joueurs mondiaux ont fait le déplacement). Seule ombre à ce tableau reluisant : comme en 2023, Novak Djokovic, numéro 1 mondial, a fait l’impasse sur l’étape espagnole préférant se concentrer sur Rome et Roland-Garros. Quoi qu’il en soit, la concurrence risque d’être plus que jamais au rendez-vous et l’excitation monte déjà. Mais, alors, qui peut réellement croire à un sacre à la Caja Magica ? Revue des principaux favoris et outsiders de ce 4e Masters 1000 de la saison. - Sinner, le jeune loup jamais rassasié En 2024, tout lui réussit. Sacré à l’Open d’Australie (face à Medvedev en finale) puis à Rotterdam et Miami, Sinner n’était pas si loin que cela à Monaco (battu par Zverev en demi-finale, dans un duel où l’arbitrage a joué son rôle). Le numéro 2 mondial, porté par une confiance totale, est une menace. Toujours. Fort de son nouveau statut, l’Italien arrive à Madrid pleins d’ambitions et constitue sans conteste l’un des grands favoris pour le sacre final le 5 mai. - Alcaraz, un tenant du titre incertain Entre Madrid et Carlos Alcaraz, il y a déjà un début d’histoire d’amour. En trois participations au tournoi espagnol, il s’est imposé deux fois (battu par Rafael Nadal en 2021). Soutenu par un public souvent déchaîné, l’espagnol arrive en terre conquise. Oui mais voilà, la condition physique du joueur de 20 ans inquiète (gêné au bras, l’Espagnol n’a plus joué depuis Miami et sa défaite face à Grigor Dimitrov). S’il n’y a presque aucun doute sur la capacité de l’espagnol à être compétitif, le doute plane toutefois encore sur sa fraîcheur physique (s’il s’aligne bel et bien). - Ruud, l’amoureux de l’ocre C’est l’un des hommes en forme de ce début de saison sur terre battue. De retour sur sa surface préférée, Casper Ruud s’épanouit plus que jamais. Finaliste à Monte-Carlo, le Norvégien vient de s’imposer à Barcelone (prenant sa revanche sur son bourreau de Monaco en finale, Stefanos Tsitsipas). Le numéro 6 mondial, double-finaliste à Roland-Garros, sera forcément à surveiller et pourrait bien jouer, une fois encore, les trouble-fêtes. - Tsitsipas, le champion retrouvé Longtemps balbutiant, Stefanos Tsitsipas retrouve tout son tennis depuis l’arrivée de la terre battue. Titré à Monaco puis finaliste à Barcelone, le Grec enchaîne les victoires. Porté par un service efficace et une consistance mentale et physique de haut niveau, le numéro 7 mondial arrive à Madrid avec de grosses ambitions. - Nadal, le héros d’une nation Ce sera l’un des évènements de ce quatrième Masters 1000 de la saison. Tout porte à croire que Rafael Nadal va, pour la dernière fois, évoluer sur les courts de la Caja Magica. L’espagnol, roi incontesté de la terre battue depuis 20 ans, pourra compter sur un soutien inconditionnel du public Madrilène. Tout un peuple risque de pousser derrière celui qui a remporté 14 fois Roland-Garros. Sans pour autant dire que Rafa peut s’imposer à Madrid, il est certain que l’atmosphère sera toute particulière lorsque le taureau de Manacor jouera ses matchs. - De Dimitrov à Struff, quelques outsiders à ne pas sous-estimer En plus des grands favoris au sacre, on compte également un certain nombre de joueurs qui pourraient bien perturber les plans des principaux cadors. Parmi les joueurs engagés dans le tableau principal, on notera la présence de Grigor Dimitrov, 9e mondial qui réalise une saison 2024 exceptionnelle. Le Bulgare reste un danger quelle que soit la surface. Alex De Minaur, 11e mondial, auteur lui aussi d’une saison prodigieuse risque également de faire parler de lui et pas seulement en raison de son tennis. En effet, il sera certainement sous les feux de la rampe puisqu’il pourrait bien retrouver Rafael Nadal au 2e tour (comme à Barcelone). Quelques joueurs, moins connus, sont également à surveiller. Jan-Lennard Struff, très à l’aise sur ocre notamment en altitude sera un gros danger. L’Allemand, finaliste sortant (battu par Alcaraz en 2023), vient qui plus est de remporter son premier titre ATP en carrière (à Munich). Enfin, des joueurs comme Lorenzo Sonego, Lorenzo Musetti, Christian Garin ou Dusan Lajovic, tous très adroits sur ocre, pourraient bien, eux aussi, couper quelques têtes. - Humbert, porte-drapeau d’un camp français pas toujours au rendez-vous Les meilleurs joueurs français ne sont pas vraiment des spécialistes de l’ocre. Derrière Ugo Humbert (14e mondial) qui semble un cran au-dessus de ses compatriotes, on ne compte pas vraiment de spécialistes de la surface. Adrian Mannarino, 20e mondial, n’aime pas vraiment le jeu sur ocre. Luca Van Assche ou Arthur Rinderknech ne semblent, pour l’instant, pa
Swiatek continue d’écrire sa légende La Polonaise, triple vainqueure de Roland-Garros (2020, 2022, 2023), vit sa 100e semaine au sommet de la hiérarchie mondiale. La statistique est assez phénoménale. gée de seulement 22 ans, Iga Swiatek atteint donc déjà ce chiffre très symbolique des 100 semaines passées à la première place mondiale. Elle rejoint ainsi un cercle de joueuses très fermé puisqu’il s’agit simplement de la 9e joueuse à réussir une telle prouesse. Désormais, la Polonaise peut être citée aux côtés de joueuses légendaires telles que Steffi Graf, Martina Navratilova, Serena Williams, Chris Evert, Martina Hingis, Monica Seles, Ashleigh Barty et Justine Henin. La numéro 1 mondiale, immense favorite à Roland-Garros, pourrait tout à fait terminer sa carrière avec un nombre de semaines passées au sommet de l’élite bien plus important. On peut le dire, la native de Varsovie est déjà rentrée dans l’histoire de notre sport alors qu’elle n’en est pourtant qu’aux premières années de sa carrière. On en vient même à se poser une question : Peut-elle aller chercher le record de Steffi Graf, qui cumule 377 semaines au sommet du classement mondial ? Réponse dans quelques années.
Djokovic devient, aux côtés de Federer, l’athlète le plus souvent élu sportif de l’année ! Novak Djokovic continue d’écrire l’histoire de notre sport. Ce lundi, il a été élu, pour la cinquième fois, sportif de l’année. Le Serbe devient ainsi, avec son ancien rival Roger Federer, l’athlète le plus souvent élu sportif de l’année. Ce sacre, absolument mérité, vient récompenser l’immense saison 2023 du numéro 1 mondial. Pour rappel, Djokovic en 2023 c’est trois titres en Grand Chelem (Open d’Australie, Roland-Garros, US Open), deux en Masters 1000 (Cincinnati et Paris-Bercy), une finale à Wimbledon et un 7e succès au Masters de fin d’année. Récompensé lors d’une cérémonie prestigieuse organisée à Madrid ce lundi, ‘Nole’ a tenu un discours très émouvant mettant l’accent sur l’importance de l’entourage dans la carrière d’un grand joueur : “Il y a des joueurs de tennis incroyables dans la salle ce soir, Rafa, Carlos, Garbine, Martina. Des gens incroyables qui ont marqué l’histoire de ce sport. [...] Je pense que nous serons tous d’accord pour dire que chaque succès, nous le devons à nos familles et à nos équipes. Ma famille est ici avec moi ce soir, mes parents, mes frères, ma femme, et j’aimerais également adresser un grand merci à mon équipe qui n’est pas là aujourd’hui mais qui a joué un rôle déterminant dans mon succès en 2023, l’une des meilleures saisons que j’aie jamais eues dans ma vie.”
Alcaraz rassure sur son état de forme : "Si tout se passe comme prévu, nous y serons." Carlos Alcaraz, double tenant du titre à Madrid, intrigue. Forfait à Monte-Carlo puis à Barcelone, le numéro 3 mondial espère pouvoir défendre son titre en capitale espagnole. Alors que les premiers tours sont censés commencer demain (pour les hommes), il ne reste plus que quelques jours à Alcaraz s'il veut être prêt pour son entrée en lice prévue vendredi ou samedi (face à Rinderknech ou Shevchenko). Le surdoué espagnol semble plutôt confiant sur ses chances de participation à Madrid, comme le rapporte nos confrères d’AS dans des propos recueillis ce lundi : “Je vais mieux. Émotionnellement, je vais très bien. [...] J’ai essayé de faire tout mon possible pour être à Barcelone et ça n’a pas pu être le cas. Ça m’a fait mal. J’espère jouer à Madrid car chaque année et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour y être. Aujourd’hui je me suis déjà entraîné avec une raquette, j’ose dire que si tout se passe comme prévu, nous y serons.”  Du côté de Juan Carlos Ferrero, l’entraîneur de ‘Carlito’, le son de cloche est le même : “On commence à voir la lumière. La séance d’entraînement a été très positive. Il n’a pas eu de douleurs. [...] Espérons que l’envie l’emporte sur le manque de rythme.” 
Entre Sinner et Alcaraz, Panatta a fait son choix : “L’Italien gagnera plus de tournois” Tout porte à croire que, lors des prochaines années, le tennis masculin tournera principalement autour de la rivalité entre Carlos Alcaraz et Jannick Sinner (9 affrontements déjà pour 5 victoires espagnoles et 4 succès italiens). Cette concurrence affole de plus en plus la planète tennis et de nombreux spécialistes sont invités à s’exprimer sur la question. C’est dans ce cadre que Adriano Panatta, dernier joueur italien à avoir gagné un Grand Chelem (Roland-Garros 1976) avant Jannick Sinner cette année (Open d’Australie), a pris position. Dans des propos relayés par OA sport, le champion italien a expliqué que son compatriote, bien que légèrement moins fort qu’Alcaraz, devrait remporter plus de tournois: “ S’ils s’affrontent tous les deux à 100% de leur forme, l’Espagnol est encore un peu meilleur. Mais il lui suffit d’être à 98% pour perdre, car Sinner est plus constant. C’est pourquoi l’Italien gagnera plus de tournois.”
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